Le marché du travail au Japon

 

 

Depuis deux décennies, le marché de l’emploi enregistre une diminution du nombre d’actifs due au vieillissement de la population et un taux de chômage se situant autour de 3 %, qui touche principalement les hommes jeunes et les seniors.

 

 

 

Par ailleurs, le marché du travail japonais se caractérise par une dualité entre travailleurs réguliers et non réguliers, lesquels représentent plus de 38 % de la population active.

Parler japonais et anglais est aujourd’hui une condition essentielle pour trouver un emploi dans l’archipel. Il faut aussi pouvoir justifier d’une spécialisation.

Si le gouvernement protège les locaux du chômage en régulant l’arrivée d’ouvriers étrangers, ceux qui savent parler anglais sont très demandés – surtout en tant qu’enseignants de langue – et trouvent presque toujours un travail.

 

On compte aujourd’hui plus de 1 ,2 million de travailleurs étrangers dans l’archipel, un chiffre en constante augmentation.

Parmi eux, beaucoup d’ingénieurs et experts, de nombreux étudiants avec un petit boulot. Les principales nationalités représentées sont les Chinois, suivis des Brésiliens et des Philippins.

 

Trouver un travail au Japon est difficile mais pas impossible : le faible taux de chômage (4 % à 5 % de la population active), la très forte baisse des actifs salariés (faible natalité et vieillissement de la population) peut jouer en la faveur d’un candidat étranger qualifié. Le tout est qu’il soit spécialisé dans un domaine précis et qu’il « vende » ses capacités ou compétences.

Des astuces permettent de « patienter » en attendant le poste idéal : puisque la plupart des emplois étant fournis en priorité aux locaux, nombreux sont les expatriés qui choisissent de dispenser des cours de français à des Japonais.

Deux options sont possibles :

  • travailler à son compte, en free-lance, en donnant des cours privés auprès d’étudiants (environ Y3 000 l’heure de cours, soit 24 €) ;
  • travailler en école, en postulant dans une école de langues. À noter que, dans ce cas, des diplômes (FLE ou licence) sont souvent requis.

 

— Le DAEFLE (diplôme d’aptitude à l’enseignement du français langue étrangère) —

Le DELF et le DALF sont des diplômes officiels délivrés par le ministère de l’Éducation nationale français. Ils certifient les compétences en français des candidats étrangers et des Français originaires d’un pays non francophone et non titulaires d’un diplôme de l’enseignement public français secondaire ou supérieur.

 

Voici quelques écoles en constante recherche de formateurs et enseignants : 

AJ-France (Kyoto)

APEF

Athénée français

CCFJ Translation Centre

Ecole Sympa

Espace français

Escapade française – Meguro

Escapade française – Ebisu

Classes de français

Institut de français

 

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